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24 avril 2010 6 24 /04 /avril /2010 13:28

P2230720

J'espère manger quelques cerises cette année !

J'ai récupéré Archie au chenil : il y a vécu des amours contrariées (par un grillage de box !) et n'a pas mangé pendant 3 jours m'a expliqué sa gardienne, qui en pleurait de rire...

 

P2230729 

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23 avril 2010 5 23 /04 /avril /2010 16:10

C'était prévu depuis plus d'un mois : le volcan islandais, qui a un nom à coucher dehors avec un billet de logement, a placé notre sortie à Vulcania en plein coeur de l'actualité.

P de D accentué

 

P2220709J'ai bien aimé les deux films en 3 D (le mammouth était craquant), les animations "dynamiques" spectaculaires (se trouver au coeur d'un tremblement de terre, emporté sous une avalanche ou pris sous l'effet de souffle d'une explosion volcanique), la descente au coeur du magma et la chevauchée au milieu des dragons super marrantes.

Et puis a été abordé le sujet qui nous préoccupe : les volacans d'Auvergne peuvent-ils se réveiller ? La réponse est apparemment rassurante : non, puisqu'ils ne sont en activité qu'une seule fois au même endroit. Mais l'activité volcanique peut se réveiller un peu plus haut. 

Le Cantal est éteint depuis 1 million d'années. La chaîne des Monts Dore a été active il y a 100 000 ans et la dernière activité dans la chaîne des Puys remonte à 6 000 ans (lac Pavin). Où se produira la prochaine éruption ? Sans doute quelque part entre Vichy et Moulins.

volcans 

La Montagne, édition du 21 avril 2010

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 11:19

 

toutou

L'autre jour, j'ai fait une grosse bêtise : il y a désormais un petit marché le dimanche matin. Il faisait beau, j'étais bien remis de mon opération. C'était la première fois que je retournais me promener en ville et je frétillais à l'idée de flairer de bonnes odeurs... 

Mon humaine s'est arrêtée pour acheter du fromage de chèvre : elle a discuté un petit moment avec la jeune agricultrice. J'en aia profité pour relever le message qu'un congénère m'avait laissé un message sur le poteau en bois devant le stand. En levant la pate pour lui répondre, mon attention a été attirée par d'autres messages laissés au pied de l'arbre qui était un peu plus loin. J'ai compris que j'avais fait une grosse, une énorme bêtise ..... en entendant des enfants, avec leur père, se moquer de moi.

Mon humaine a tiré sur la laisse et a écourté la promenade. Elle n'était pas très gracieuse ! "C'est de la sénilité, Archie ?" m'a t-elle demandé. Arrivée chez nous, elle s'est précipitée dans ce qu'elle appelle la "salle de bain", un lieu qui m'est interdit. Je ne sais pas quel plaisir elle éprouve à s'arroser avec ce tuyau et à sentir l'oranger. Moi, pour me nettoyer, je me lèche ! Et pour me parfumer, je me roule dans une bonne vieille charogne quand l'occasion m'est donnée d'en trouver une. 

Je suis allé me cacher et j'ai fait oreilles basses... Le lendemain, elle m'a conduit au chenil.

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 17:46

blessé 1 paint

 

Un soir, elle m'a supprimé mes deux gamelles et le lendemain matin, elle m'a conduit dans cette maison où il y a tant de chats et de chiens qui souffrent.

Ils se sont mis à deux pour me mettre sur une table, j'ai senti une piqure... Et à mon réveil j'étais affublé de ce ridicule T-shirt.

 

 

 

 

 

 

 

J'ai essayé de m'en débarrasser.

 

Et alors .......

 

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Ah, c'est pratique, je vous jure !!

blessé 5

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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 10:38

Olivier Petre Grenouillaud est un historien dont la thèse "les traites négrières" a été saluée par ses pairs. Comme toute thèse d'histoire, sa diffusion est longtemps restée confidentielle. Je l'ai achetée, l'ai lue et trouvée très intéressante : elle démontre que l'esclavagisme n'a pas été le seul fait du commerce triangulaire (d'où le titre "les traites..."). Et que comme les gaulois se faisaient la guerre entre eux pour faire des prisonniers et vendre des esclaves à Rome et à la Grèce, des africains raflaient d'autres africains pour alimenter le commerce des esclaves.
Certaines associations ont découvert ce travail, ont qualifié l'historien de négationiste et dans la foulée ont demandé que les français se repentent pour le commerce triangulaire. Sans prononcer le mot, ils définissent ainsi une identité française.
Au XVIIe et au XVIIIe siècle, il se trouve que mes ancêtres s'épuisaient à cultiver des terres ne leur appartenant pas pour verser des redevances à des accapareurs, qui investissaient peu-être dans le commerce triangulaire.  
Comme l'a dit Jean Ferrat : c'est là ma France.... "Celle des enfants de 5 ans travaillant dans les mines, celle qui a bâti de ses mains vos usines, celles dont M. Thiers a dit : qu'on la fusille !"

Il y a d'autres "identités françaises" : celle de Jean Marie Le Pen, par exemple. Il y a l'"identité française" de Robert Badinter et d'un certain nombre de réfugiés de l'entre deux guerres.

Amalgamer tous les "gaulois", généraliser à un groupe le comportement d'individus, c'est ce que l'on appelle le "racisme". Le racisme "à l'envers" est un racisme comme les autres.


Des gens, qui pourtant me veulent du bien, vous le diront : je ne suis pas très "fu-fute". Aussi lorsque le ministère de l'identité française et de l'immigration a été créé, je n'y ai pas vu matière à m'indigner : pur produit de l'école laïque, gratuite et obligatoire, je connais par coeur, ou presque la Légende des siècles, ses "soldats de l'an II, dressés contre toute l'Europe avec ses capitaines, avec ses fantassins couvrant au loin les plaines...", l'histoire du jeune Barra assassiné pour avoir refusé de crier "Vive le roi", et j'ai trouvé émouvant que "cet air de liberté au-delà des frontières" ait conduit les Hongrois, en 1956, les Tchèques en 1968 et même les Chinois en 1989 à chanter la Marseillaise.    
Il me paraissait important au moins d'en discuter.
Fernand Braudel, un autre historien, a écrit il y a un quart de siècle un ouvrage salué par tous les intellectuels de l'époque : l'Identité de la France. Donner pareil titre à un ouvrage serait considéré aujourd'hui comme "libérant la parole raciste".
Il y  a pourtant une "identité de la France", comme assez paradoxalement, il y a une "identité bourbonnaise", axée autour d'un mythe : le métayage et d'une construction paysagère : le bocage. Il y a une une identité "méditerranéenne". Personnellement, je me sens autant bourbonnaise que française, méditerranéenne que descendante des Celtes. Et européenne.

Une identité n'est donc pas forcément exclusive des autres.

 

Il reste à [re]construire une identité européenne.

J'avais trouvé étonnant, il y a quelques 40 ans, que les américains noirs (on dit afro-américains) recherchent, au travers de caractéristiques faciales, leurs racines ethniques. Celà ressort de la même logique que la vogue de la généalogie ou de la légitimité reconnue aux enfants abandonnés de rechercher leurs parents, tout ceci prouve que l'on a besoin de se construire une identité. Et à défaut d'enregistrement d'état civil, il fallait bien mettre au point une méthode.

Et pour revenir à mon premier sujet : l'esclavage, considérer qu'il n'y a eu qu'une sorte d'esclavage, celui des africains noirs victime du "commerce triangulaire", c'est sous estimer d'autres esclavages, contemporains, eux.

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 08:10

J'ai failli écrire "un débat qui fait avancer les choses" : mais il ne faut pas exagérer quand même.

En tous cas, ça réconcilie avec les hommes politiques. Hier, j'ai zappé sur France 2 et ai vu la fin de "A vous de juger", l'émission d'Arlette CHABOT, avec Malek BOUTIH et Luc FERRY. 

Il paraît que malgré la caricature, (un court extrait où COHN-BENDIT reproche à ROYAL sa bêtise ou je ne sais trop quoi)  qu'on a retransmise sur les radios du débat, ces deux intervenants-ci s'étaient également écoutés. Et si c'était celà la vraie qualité d'Arlette CHABOT, faire venir ensemble des gens capables de s'écouter et faire avancer des idées, à défaut de faire avancer les choses ?

BOUTIH sort du discours misérabiliste et connaissant bien ses quartiers, pointe les vrais problèmes. Il n'hésite pas à avancer des propositions révolutionnaires comme reconquérir les quartiers. Mais son discours, ce n'est pas "il nous faut plus de moyens plus de postes". Son discours sur la "reconquête" sonne plus "militaire". Il invite aussi les assistantes sociales à ne pas se contenter de distribuer des chèques mais d'aller constater la réalité des besoins en visitant les familles.

Luc FERRY sait écouter son interlocuteur et bien que prof de fac, connaît bien le problème des enseignants de collège et de lycée, qu'il a pris, manifestement, le temps d'entendre (à l'évidence mieux que Ph. MERIEUX !). Et il avance des solutions pédagogiques novatrices concrètes. Qu'il a pu mettre en place quand il était ministre.

C'est ce qu'atteste par son témoignage une "proviseure" de lycée de l'académie de Versailles. Le principal d'un collège invite à travailler avec tous les partenaires : éducateurs de rues, policiers, directeurs de MJC... ce qui me rappelle de bons souvenirs.

Mais ces responsables d'établissements ne peuvent rien faire si leur hiérarchie ne les laisse pas sortir des sentiers battus (c'est le rôle du recteur, mais c'est encore mieux s'il est encouragé par son ministre de tutelle), réorganiser les programmes, utiliser leurs moyens en enseignement de façon opportune par rapport à la situation réelle du public. Et il n'y a pas besoin de moyens énormes pour ce faire : il faut simplement utiliser ceux dont on dispose, mais de façon utile (exemple de propos qui décoiffe : "il y a des classes où 35 élèves ne posent pas de problème, et d'autres où l'on ne peut pas travailler à plus de 10 !").

Dans la situation actuelle, c'est ce que dénonce la représentante du SNALC, qui a le plus fréquemment cours : les chefs d'établissements font le gros dos et tant qu'ils ne sont pas eux-même agressés, laissent les enseignants se débrouiller face à l'agressivité de leurs élèves. La responsabilité des chefs d'établissements est un sujet tabou : ils bottent généralement en touche en affirmant "M. Un tel n'a pas d'autorité", quelquefois ils ajoutent "n'a pas d'autorité naturelle". Et là, mon opinion est que c'est l'Hôpital qui se fout de la Charité.  Car, comme dans une famille, il faut une congruance dans le comportement des adultes de l'institution, sinon le message éducatif est brouillé.  C'est ce que disaient les profs d'un de mes anciens collèges : "ici, on a un confort pour travailler car quand on a un problème, on le signale. L'élève et sa famille sont convoqués (le samedi matin, car alors, on travaillait le samedi matin ! et que les parents étaient disponibles ce jour-là) par le principal et le principal adjoint".

Il faut enseigner les "codes" de la vie en société a enchéri quelqu'un (M. BOUTIH me semble-t'il)... C'est ce que l'on appelait autrefois l'instruction "civique" et la "morale" : j'aime bien le nouveau nom qui pourraît être donné à ces deux enseignements.

Madame la Proviseur, dont j'ai oublié le patronyme, montre le "contrat de réussite" que l'on signe dans son lycée. Il faut prendre beaucoup de temps pour discuter  et expliquer. C'est son rôle et cellui de ses CPE : elle affirme avoir 85 % de réussite avec ce système. Une de mes amies, professeur dans un collège de Saône et Loire, avait eu cette idée, il y a une quinzaine d'années. Elle passait des contrats d'objetcifs avec ses  élèves les plus difficiles. Comme cette idée lui était venue à la suite d'une psychothérapie qu'elle avait faite ("la psychothérapie", disait-elle, "c'est comme l'archéologie. Il s'agit de dégager les couches les unes après les autres, pour voir ce qu'il y a en dessous".) et qu'elle ne s'en cachait pas, ses chers collègues et sa hiérarchie n'ont pas tardé à faire courir qu'elle était folle et/ou appartenait à une secte ! La dernière fois que j'ai eu des nouvelles d'elle, elle était en congé maladie à cause du "harcèlement moral" qu'elle avait dû endurer. J'espère qu'elle sait que dans un lycée de "zone sensible", un proviseur a généralisé son expérience !

Et puis un rappel : les enseignants enseignent, les parents éduquent.. Le principal du collège lance l'idée d'ouvrir des "écoles des parents".

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 23:00

maison père Guillaumin 2

J'aime beaucoup le design de la poussette. On remarquera la ceinture de sécurité !

La maison derrière a disparu: à la place, il y a l'Auberge de la Queune, mais j'ai un dessin :

 maison père Guillaumin

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 11:06

Si l'on raconte qu'elles font des placements hasardeux (Crédit lyonnais), qu'elles achètent sans vérifier des obligations douteuses, ou "subprimes"(crédit agricole, caisse d'Epargne, Banque Populaire) ou laissent la bride sur le cou à de jeunes diplômés des grandes écoles pour faire des opérations de "casino" sur les marchés (Société générale), tout ceci est largement contrebalancé par la prudence dont elles savent faire preuve, quand une délinquante presque sénile (moi en l'occurence) essaye de leur refiler des billets de Monopoly (à savoir 20 CHF), libellés dans une monnaie désuette : le franc.

billet438

A Neuchâtel, j'ai retiré plus d'argent que je n'en avais besoin : j'ai réussi à ne pas faire de monnaie et à garder un billet. Pourquoi me suis-je dit que je pourrais le faire changer dans une banque en France ? Je suis allée au plus simple : celles qui sont dans un rayon de 20 mètres autour du bistrot où je vais boire mon petit noir.

Au moins deux de ces beaux établissements (qui ont de superbes verrières Art Nouveau) sont installés depuis 1881 ou 82 : Crédit lyonnais (on dit LCL, je crois maintenant), Société Générale ("votre intérêt est capital" : un beau slogan). D'installation plus récente peut-être, mais fondé dans les mêmes années, le Crédit agricole.

Il faut changer de troquet pour se trouver face à la Caisse d'Epargne, bâtiment daté de 1900, et qui offre un magnifique plafond en faïence.

Tous ces établissements ont la responsabilité de protéger ce beau patrimoine contre la malhonnêté des petits épargnants.

Dans l'un, on m'a conseillé d'aller à la Banque de France (la plus proche ne se trouve-t'elle pas à Clermont ?), et dans les deux autres d'aller à l'agence là où est l'écureuil et aussi là où était domicilié mon compte. J'espère que ma "conseillère financière" ne sera pas en vacances, car ne fréquentant cet établissement qu'une fois par an, il va falloir vérifier mes papiers d'identité, mes empreintes digitales et mon fond d'oeil.

 

Les responsables des banques ont dû voir ce petit film allemand, sorti dans les années 70, que j'avais, sur les conseils d'une amie, fait passer au ciné-club du lycée que j'animais alors, et dont je recherche les références : Lina Bracke cambriole une banque : l'histoire de deux retraités mis en maison de retraite par leurs enfants et qui cambriolaient une banque pour aller se la couler douce à Majorque (ou aux Canaries).... 

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 19:30

Aux dernières nouvelles, ce sont des entrepreneurs locaux qui ont acheté le marché couvert et qui vont s'occuper de son aménagement.

Interviewé, l'un d'eux affirme qu'il va conserver la structure en fonte, même s'il affirme que compte-tenu du retard pris par l'opération et pour s'éviter des frais, il ne va pas commander une nouvelle étude d'architecte.

J'avais cité en exemple la rénovation des marchés couverts de Dijon et La Rochelle, sans être en mesure de produire les photos pour étayer ma thèse : à savoir qu'on peut tout à fait conserver le style 1900, et rénover pour avoir un bâtiment répondant aux critères de rationalité actuels.

Ayant une correspondance à Dijon, entre deux trains, je me suis propulsée au centre. Voici donc l'ancien marché couvert de Dijon. 

 

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 A l'intérieur, on a su préserver la clarté naturelle....

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On lui a conservé sa destination originelle, celle de marché alimentaire : à Moulins, il y aura des boutiques.

Je crois qu'il devra y avoir aussi des stands pour l'alimentation. Ce qu'ont fait les architectes à Dijon est quand même plus convivial que ce que ceux de Moulins avaient fait à Moulins l'affaire du marché couvert et des Nouvelles Galeries .

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Et l'on peut parfaitement intégrer des éléments contemporains sans dénaturer le style.

 

Reste maintenant le problème de la transformation de l'immeuble des Nouvelles Galeries en appartements. Apparemment, l'on va échapper au pire. Mais, bien que personne ne me demande mon avis, je mettrai prochainement en ligne quelques suggestions, car d'après mes souvenirs, et aussi parce qu'un dimanche des journées du patrimoine, j'ai eu l'occasion de voir qu'ils étaient conservés, il y aurait des éléments d'architecture intérieure à préserver.

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 12:11

L'Allier, ma dolce vita à moi, est le slogan que je ne sais quel publicitaire ou "consultant" parisien a trouvé pour promouvoir le tourisme dans notre département.

Pour moi, l'Allier évoque plutôt la "vie tranquille". D'ailleurs, quand on fait des enquêtes, les habitants sont certes un peu gênés que la population du département diminue, mais ne souhaitent pas forcément la venue de nouveaux habitants : on est si bien entre soi, et pourquoi partager un si beau pays avec des étrangers ?

Quand j'avais 3 ou 4 ans, aller au cinéma représentait une sortie extraordinaire. On passait des films à la salle des fêtes de Noyant : le projectionniste était un certain "Bébert". Ma mère raconte qu'un jour où le public n'avait rien compris au scénario du film, on a découvert qu'il avait passé la troisième bobine avant la  deuxième. Avant l'acquisition du premier poste de télévision par le Café Chalmin, quand on se déplaçait pour aller au cinéma, c'était pour voir des choses distrayantes : aussi, je serais étonnée que "le voleur de bicyclette" ou même la "Dolce Vita" aient figuré pas au programme proposé par Bébert. "Pain, amour et fantaisie", peut-être.

C'est ma tante qui a eu la première "Vespa" de Noyant, et par la même occasion, de Châtillon. Mon père racontait que surprise par le système de freinage, elle n'était pas allée plus loin que la maison d'en face et avait fait un vol plané par dessus le guidon.

Cette fameuse Vespa a fait l'objet d'une photo :

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Quand on m'a assise sur le siège arrière, je n'avais pas voulu lâcher mon "Baba". Au guidon, Nicole Leboeuf, une jeune voisine. 

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